Le mot vietnamien "gượng" peut être compris comme "se forcer d'une manière forcée" ou "à contrecoeur". C'est un terme qui décrit une action où une personne fait quelque chose sans vraiment le vouloir, souvent parce qu'elle se sent obligée ou contrainte de le faire.
"Gượng" exprime l'idée de faire un effort, mais d'une manière qui n'est pas naturelle ou agréable. Par exemple, si quelqu'un doit sourire alors qu'il est triste, on pourrait dire qu'il sourit "gượng".
On utilise "gượng" dans des contextes où l'on se sent obligé de faire quelque chose qui ne correspond pas à nos véritables sentiments ou désirs. Cela peut s'appliquer à des émotions, des actions physiques ou même à des situations sociales.
Dans des contextes plus littéraires ou poétiques, "gượng" peut décrire une lutte interne, où une personne doit faire face à ses propres émotions ou à des attentes extérieures. On pourrait l'utiliser pour parler de personnages dans des romans qui ressentent une pression sociale.
Bien que "gượng" soit principalement utilisé comme un verbe, il peut également être employé dans des expressions plus larges pour décrire des situations de tension ou de contrainte.