Le mot vietnamien "gông" désigne traditionnellement un dispositif de contrainte utilisé pour immobiliser les prisonniers, similaire à une cangue ou des menottes. En français, on peut le traduire par "cangue" ou "entrave". Ce mot évoque donc une image de restriction et de punition.
Utilisation de "gông"
"Gông" est souvent utilisé dans des contextes historiques ou littéraires pour décrire la condition des prisonniers ou des personnes qui subissent une forme d'emprisonnement physique.
Exemple : "Những người bị gông trong thời kỳ chiến tranh." (Les personnes qui étaient enchaînées pendant la guerre.)
Dans un sens plus figuré, "gông" peut décrire une situation dans laquelle quelqu'un se sent limité ou oppressé, même en dehors du contexte carcéral.
Exemple : "Cảm giác như mình đang bị gông bởi những kỳ vọng xã hội." (Je me sens comme si j'étais contraint par les attentes de la société.)
Variantes et significations différentes
Il n'y a pas de variantes directes du mot "gông", mais on peut le combiner avec d'autres mots pour créer des expressions. Par exemple, "gông cổ" peut désigner spécifiquement un collet (cangue) qui entoure le cou.
Différentes significations :
Synonymes
Cangue (cangue) : Un terme plus général pour désigner les dispositifs de contrainte.
Xiềng : Un mot qui peut également signifier des chaînes ou des menottes, utilisé également pour désigner des restrictions physiques.
Usage avancé
Dans un contexte littéraire ou poétique, "gông" peut être utilisé pour symboliser la lutte contre l'oppression ou la quête de liberté. Par exemple, un écrivain pourrait évoquer "gông" pour illustrer les entraves sociales qui empêchent l'individu de s'épanouir.
Conclusion
Le mot "gông" est riche en significations et en connotations, particulièrement en lien avec la notion de contrainte.